Initialement, le terme de Gestion Technique du Bâtiment (GTB) est plus connu que la notion de Gestion Active du Bâtiment. Toutefois, puisque les exigences en matière de performances et de sécurité sont toujours plus importantes, on tend à travailler de plus en plus sur une gestion active, procédé plus sophistiqué incluant, notamment, l’usage de l’immotique.
Gestion Technique et Active du Bâtiment : présentation des deux notions
Dans les grands bâtiments et au sein des installations industrielles, on met toujours en place un système de Gestion Technique du Bâtiment. Par l’intermédiaire d’automatismes, il permet d’obtenir des informations précises sur le fonctionnement des alarmes, l’état des équipements ou encore la mesure de la température. On utilise ce procédé pour gérer les éclairages, identifier rapidement tout dysfonctionnement électrique, contrôler la vidéosurveillance et, entre autres, s’assurer du maintien en état de marche des alarmes incendie.
Dans la gestion active, on mobilise également des dispositifs impliqués dans la gestion technique — mais les procédés sont plus sophistiqués, grâce à l’utilisation de l’immotique. Concrètement, les appareils, plus précis que ceux de la domotique traditionnelle des particuliers, offrent l’opportunité d’optimiser encore les coûts de fonctionnement d’un bâtiment, en réduisant les dépenses énergétiques.
Une vision plus moderne de la gestion des bâtiments
Sur le plan technique, on parle de gestion technique ou de gestion active pour désigner des procédés similaires. En revanche, quand la gestion technique montrait certaines limites, la méthode active semble dépasser les obstacles et offrir de nouvelles perspectives de développement. De plus, ce processus s’applique aussi aux immeubles tertiaires, aux prisons ou encore aux hôpitaux, ce qui facilite le contrôle de nombreux paramètres (accès, gestion des lumières en l’absence de personnes, contrôle de la consommation en énergies).
Alors même que l’on peut saisir tout le potentiel de la Gestion Technique de Bâtiment, indispensable pour répondre à des objectifs de productivité ou de sécurité, les perspectives de la gestion active sont encore plus grandes. Aujourd’hui, on parle déjà de l’intelligence artificielle et de la robotique, en insistant sur le fait qu’il s’agit de l’avenir en matière de gestion active.